Le Sénégal

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19 décembre 2004 - Cap Vert - Sénégal

Dimanche 19 décembre, départ de Sal au Cap Vert pour le cap vert du Sénégal avec une météo normalement favorable de vent Nord-Nord-Est de 15 à 20 nœuds pour trois jours de travers. Nous sommes toujours quatre bateaux à partir de Sal : P'tit bout II avec Françoise et Jean-Charles, Betsy avec Valérie, Emmanuel et Lucas (3 ans), Saltimbanque avec Céline et Jérôme et moi sur Balade. La route suivie L'île de Gorée















Le voyage se fait assez tranquillement, la mer est agitée le premier jour, elle se calme ensuite la vitesse est importante, 128 milles le premier jour, 132 le deuxième et 100 le troisième avec les 20 derniers milles dans un vent moins favorable, le moteur a donné de la voix, vent debout, pour l'arrivée entre Gorée et l'anse de Hann où se trouve le Club de Voile de Dakar, très accueillant.


Les pêcheurs au large Lors de l'arrivée, à plus de 20 milles de la cote, je trouve des pêcheurs sur de frêles embarcations de nuit et sans lumière ! Après la pèche qui dur deux à toris jours, Il rentre sur la plage près du mouillage des plaisanciers pour débarquer le poisson dans un marché très animé.


Noël approche à grands pas et nous terminons les derniers achats pour le repas et les cadeaux dans un Dakar fou où la circulation est épouvantable.

L'anse de Hann












Le passeur, passe









Mais avant de visiter Dakar, il faut utiliser le passeur qui nous transporte du bateau au ponton du CVD (le Cercle de Voile de Dakar) où nous sommes mouillés.





Le mouillage et son
        ponton




On voit bien le ponton et les bateaux au mouillage sur fond de sable de bonne tenue. Les sportifs sur la plage sont les lutteurs de l'équipe nationale du Sénégal !

Plus de 50 bateaux en permanence et une très bonne ambiance.






La gare ou peu de train
        circule



Nous prenons un taxi pour visiter Dakar et le centre ville, 1000F-CFA (1,52€), pour aller du CVD à la place de l'Indépendance, lieu central où tout est concentré.

Le taxi passe devant la gare où les trains de banlieue et les grandes lignes arrivent, il n'y a plus de train pour Saint-Louis depuis deux ans, dommage, nous aurions voulu y aller en train !



Le train régionale






Les trains fument autant que les camions et les voitures, une vraie catastrophe écologique, insupportable pour nous, de plus ils sont totalement bondés et roulent très lentement en klaxonnant tout le temps, il n'y a pas de barrière aux passages à niveaux... On n'est pas en France avec sa réglementation débordante :-)


La place de
        l'Indépendance






La place de l'Indépendance, lieu symbolique, ou l'on trouve les banques et les ministères. A partir de cette place partent les différentes voies de circulations remplies de commerces.



Les échoppes pour
        touristes





Et des commerces, il y en a pour tout le monde, vous ne faites pas dix mètres sans que l'on vous propose des montres, pantalons, sacs, chaussures, ... très difficile de s'en défaire, et les courses prennent un temps fou.





Et les petits 'restau'
        locaux, super !






Après cette première visite, nous sommes rentrés au CVD et avons mangé dans l'un des petits restaurants sur la rue en face. Très local, sympathique, bon et pas cher, pour une fois.


Nous prenons un temps de repos après cette après midi mouvementée et retournons en ville pour faire d'autres courses toujours aussi enfumé...







24 décembre 2004 - Veille de Noël

La veille de noël chez
      Betsy

Le temps passe, déjà la veille de Noël, alors chacun prépare un petit plat et l'on se retrouve chez Besty pour le dîner de réveillon.




Un petit apéro entre amis...





Après l'apéro






...un bon repas...






Dur la vie en bateau





...et c'est l'heure des cadeaux avant le dessert ! La bonne ambiance règne et on rigole bien, le gâteau est encore un peu liquide, mais très bon !









25 décembre 2004 - Noël

Le couple de l'année

Le jour de Noël est passé chez P'tit Bout II, le beau bateau de Françoise et Jean-Charles, ici en amoureux. Le foie gras et le vin blanc sont appréciés de tous.








Foie gras et vin...




C'est quand même surprenant de passer Noël avec une température de 25°C et du soleil, alors qu'il neige un peu partout en France !











28 décembre 2005 - Anniversaire

Le transfert du
      gâteau

Et oui, il y en a qui n'ont pas de chance, être né entre Noël et je jour de l'An, quel gâchis de cadeaux ! On fait avec, moi et mon égo !
Ceci étant, je prépare ma spécialité, un 4/4 au chocolat !
Moussa, le passeur, est tout surpris de voir passer un gâteau tout chaud devant son nez !









Les cadeaux !



Voila, le moment est immortalisé, j'enfile la chemise et j'admire la superbe sculpture de la porteuse d'eau africaine, magnifique !



Remarquer, au passage, le beau gâteau, il n'en reste plus, maintenant. A l'année prochaine, mais je ne suis pas pressé...








29/31 décembre 2004 - Saint LouisLe terminal routier !

Après ce jour mémorable de décembre, nous décidons de partir en balade à Saint-Louis du Sénégal, mais voila, pas de train, les taxis sont trop chers; on décide de partir de la gare routière, une belle aventure commence.


Donc, nous voici à 8h30 devant un amoncellement de véhicules de toutes sortes et dans tous les états ! Un monde fou, des odeurs diverses. Vous allez où ? Venez ici, c'est moins cher ! Ce bus part dans 5 minutes, venez !


On nous tire de tous les bords pour embarquer dans un bus en partance pour Saint Louis, en fait, la veille nous sommes déjà passés et avons réservé cinq places dans un bus, et notre 'cherman' arrive pour nous guider vers le bus en question. Il est vide !


Il est 9h, on nous installe puis nous attendons que le bus se remplie, 3h30 d'attente avec des vendeurs ambulants qui passent régulièrement tenter leurs chances. Enfin le bus est plein, et quand on dit plein c'est bourré que je devrais dire. Plus un endroit où s'asseoir, je suis coincé entre la vitre et un grand gaillard, commerçant de son état, qui rentre chargé à Saint Louis.

Avec ses chalands


Le bus démarre et nous sortons enfin de cette zone infernale où bruits et odeurs sont au maximum.
 


Nous prenons l'autoroute, heu une route à quatre vois sans barrière, pour sortir de Dakar, la route est belle et le bus s'ébranle tranquillement, premier arrêt, des gens descendent, d'autres montent, cela sera régulier tout au long des 264 km que mesure le parcours.


En fait, il y a un préposé à l'arrière du bus qui signale, en tapant sur la tôle que des gens veulent descendre, et le bus s'arrête sur l'autoroute ou la route...


Sortie de la ville de
        Dakar





Nous continuons à traverser la banlieue de Dakar, il y a de tout : des poules sur le bas coté, des moutons, des charrettes à chevaux, des légumes, des meubles, des réparateurs de voitures ou de camions... et nous somme bien sur l'autoroute !




L'on trouve de tout !




La circulation est intense, les chauffeurs ont bien du mal à circuler dans cet enchevêtrement de camions, charrettes, voiture et autres véhicules avec des chèvres et moutons qui traversent de temps à autre.




La beauté des femmes





Les femmes sont souvent habillées de belles couleurs et les mama's sont superbes avec leurs sourires pleins de joie de vivre.




Circulation à contre
        sens






Les charrettes sont immatriculées comme les motos, mais le code de la route n'est pas toujours respecté.




Les baobabs dans la
        savane



Et puis après une bonne heure, nous commençons à voir la savane et les premiers Baobabs, l'arbre de l'Afrique, dix mètres de haut et jusqu'à vingt-cinq mètres de circonférence, bien assit sur un sol calcaire, il tombe quand même lors des tempêtes, les racines ne pénètrent pas assez le sol.

Le fruit du baobab est comestible, mais je n'en ais pas encore goûté.




La pub sur les
        boutiques







Les commerces sont souvent recouverts de pub, comme ici avec cette boutique de brique !




Le pont Fedherme de St
        Louis




Enfin, après 5h30 de route et une multitude d'arrêts, nous arrivons à Saint-Louis, la ville sur une île, relier par deux ponts, l'un du côté Nord, l'autre au Sud. Le pont du côté Nord est une œuvre d'art de sieur Eiffel, avec une partie tournante pour laisser les gros bateaux passer, mais cela ne fonctionne plus depuis longtemps. En y regardant de près, l'entretien est inexistant et le pont est en train de mourir, les tôles d'acier sont attaquées jusqu'à l'âme et dans quelques années il s'écroulera si rien n'est fait.

En mauvais état






Ceci étant, c'est une belle construction, l'autre pont est plus récent en béton, l'ancien pont n'est plus utilisable totalement bloqué à toute circulation.



La vue globale du
        pont



Le vieux port de commerce n'est plus utilisé, le pont étant fermé, le quai est dessert.


La mode locale









Dans l'une des échoppes, nous avons pu assister à la dernière présentation de mode, ici, la jeune mannequin, nous présente une superbe robe du soir de couleur brun-rouge du dernier effet. Manu n'en reviens toujours pas !

La grue à vapeur







Au bout de ce quai trône une grue à vapeur, la seule du Sénégal, mise en service en 1880 et arrêtée en 1948, elle est encore en bon état. Elle servait à décharger les locomotives et les charges lourdes jusqu'à vingt tonnes. Le câble était inexistant à l'époque, c'est donc une chaîne comme celle des vélo qui était utilisée pour soulever les charges, le crochet est aussi d'époque :-)
Du neuf et du vieux





L'île de Saint-Louis est relativement propre et bien entretenue, mais les maisons chics côtoient sans problème les maisons modestes dans la même rue.





Le retour des
        pécheurs






En passant le deuxième pont, nous voyons les pirogues de pêche remonter le fleuve Sénégal pour livrer le poisson au mareyeur. Ils partent cinq jours en mer avec sept marins et un capitaine dans une embarcation assez rudimentaire de vingt mètres de long, avec un seul moteur de 40CV et du riz pour toute nourriture, quel courage !




La construction des
        routes





D'autres s'occupent de refaire la route au bord du fleuve, une belle route de béton avec une bétonnière ancienne réparer des centaines de fois, la batterie est par terre et il décharge la benne, elle est trop lourde pour le pauvre moteur qui n'en peut plus. Mais le travail qui en résulte est remarquable et très propre, comme quoi, l'outil est usé mais la volonté est présente.




La plage des pécheurs
        10 km




Nous traversons la ville des pécheurs pour voir la plage et la mer qui s'étendent sur des kilomètres. Les têtes de poissons et les odeurs sont omniprésentes, les enfants jouent sur le sable entre les moutons qui cherchent de quoi manger. Plus de quatre mille pirogues sont installées, sur plus de dix kilomètres, une partie de la plage est réservée au salage et au séchage du poisson, sur plus d'un kilomètre.



Transport des poissons
        à cheval








Des chevaux attelés à des charrettes transportent le poisson du bateau aux aires de salage et de séchage.





Séchage et odeurs





Le poisson est nettoyé puis étalé sur des grilles en fer pour sécher, ensuite il est salé pour être transporté vers les pays africains du centre.





Saumur et salage







L'odeur est très forte, mais on s'y fait, un capitaine nous accompagne et nous donne une foule d'information sur son métier et le traitement du poisson. Contrairement à ce que pourrait penser un Français moyen, il est très cultivé, nous parles de politique et d'art, comme quoi !




L'équipe et le
        capitaine-guide





Après cette visite de quatre heures, nous retournons à l'hôtel pour nous reposer et manger un couscous sénégalais, c'est fait avec du mil et du poulet, très bon.




L'expert es
        photographe





Il faut déjà repartir, Jean-Charles prépare son appareil devant les enfants médusés de son professionnalisme. Remarquez l'air sérieux du spécialiste devant la bête ! Nous ne sommes pas revenus par le même moyen de transport, nous avons opté pour un taxi-brousse de sept personnes plus le chauffeur qui s'est rempli en cinq minutes, ouf, il ne s'arrête pas toutes les trois minutes ce qui nous enchante.


La pollution
        omniprésente



Donc, 3h30 plus tard, nous arrivons à Dakar. Ah Dakar et sa pollution !


ici un transport de vingt places, le même qu'à l'aller, crachant sa fumée noire comme une veille 'loco' à vapeur.


Donc, Saint-Louis est une belle ville à visiter avec le marché aux poissons à découvrir, une ville île surprenante.





31 décembre 2004 - St Sylvestre

L'apéritif devant le
      CVD

Nous voila réuni pour le réveillon de la Saint Sylvestre, autour d'une table du bar du CVD (centre de Voile de Dakar), pour passer une soirée animée par un groupe local de Djembé qui vient du port de pêche tout proche.


L'ambiance est bon enfant, le barbecue chauffe en attendant le poisson, de la lotte et les pommes de terre en papillote dans la braise...


Nous sommes une vingtaine de bateau à fêter ce passage d'année.

La bonne année des
        fils 






Le téléphone crépite des appels et autres SMS des parents et enfants : ici Jean-Charles en grande conversation avec ses enfants.







La fête commence





Le poisson est déjà entamé, le vin coule, la musique et les chants sont d'une qualité remarquable et la température clémente, 18°C, nous avons gardé les polaires pour la photo.





Les musiciens
        déchainés









Le rythme endiablé de la musique nous pénètre tranquillement, le groupe commence à s'animer d'une danse bizarre, entre rock et salsa.




Les danseurs fous 









Françoise est bien partie.






Le chichiwawa de
        maître JC19





Et après cette euphorie, Jean-Charles nous prépare ça spécialité : Le chichiwawa, dans un bol, le verre est trop petit.


Chacun goûtera cette mixture douceâtre et en redemandera.




Le résultat des
        courses



Le maître de cérémonie en pleine action de grâce, termine le bol.


L'heure fatidique est maintenant passée, chacun se congratule et s'embrasse en se souhaitant plein de bonne chose pour cette nouvelle année calendaire qui démarre.


Donc, bonne et heureuse année 2005 à tous, que la force soit avec vous, comme dirait Maître Yoda.




4 janvier 2005 - Gorée

Le bateau pour Gorée

Nous allons visiter l'île de Gorée, première possession française et capitale du Sénégal pendant longtemps. Le bac est assez grand pour les deux cents personnes qui attendent avec nous, pour traverser les deux kilomètres qui séparent Gorée de Dakar.









Le port de commerce de
        Dakar






Le ponton est dans le port de commerce et les gros bateaux sont en cours de chargement-déchargement.





Lîle de Gorée






Après un quart d'heure de mer, l'île qui n'a pas cessé de grossir est bien en vue. Longue de huit cents mètres et large de trois cent, elle culmine à cent dix mètres recouvert d'un fort et d'une effigie à la mémoire des esclaves déportés de cette île vers l'Amérique...




Une crèche de Noël






Dans un lieu à majorité musulman, la présence d'une crèche est toujours une surprise !





Des échoppes pleines de
        couleurs






Bien entendue, les échoppes grouillent sur toute l'île avec des couleurs et des objets d'une beauté peu commune.






La carte de Gorée




Nous arrivons à l'une des anciennes maisons où les esclaves étaient préparés pour le long voyage, une reconstitution de l'Unesco, l'on voit sur cette carte d'époque, la configuration de l'île, avec le fort à droite et le port à gauche.




La maison aux esclaves 






La maison des esclaves est visitée par beaucoup de Sénégalais en mémoire à leurs ancêtres, une exposition retrace le périple de la capture, dans le sang, jusqu'au départ de l'île, histoire peu glorieuse de nos ancêtres.





La liberté enfin
        retrouvé





La statue devant cette demeure est éclatante de vérité, les chaînes brisées, le couple enfin reformé repart pour une vie de liberté.





Des ruelles bien
        entretenues








Le reste de l'île, très propre, est chaleureuse, les vestiges de l'ancienne garnison traînent de-ci delà.





L'embarcadère protégé




Nous repartons vers le quai pour rentrer au CVD, manger un 'Tiboudienne', plat de riz à la sauce poulet.










6 janvier 2005 - Le Lac Rose

Le route du Lac Rose

Pas de repos pour les héros, nous repartons en visite, cette fois au Lac Rose, célèbre par l'arrivée du rallye Paris-Dakar. Pas de transport en commun disponible pour ce périple, nous louons deux taxis et partons sur la route pour ce lac si connu des Français.







Transport
        d'arachide






En chemin, nous croisons beaucoup de camions comme celui-ci, remplis d'arachide. Il touche les fils électriques et roule à l'allure des tortues.






Enfin le Lac Rose





Le lac apparaît à la sortie d'un virage, vision d'un mirage qui s'éclaircit au soleil, rempli de barques, mais sans oiseaux ! Les fameux flamants roses ne sont pas là, dommage.




Toujours prêt à
        dégainer




Par contre, nous retrouvons de célèbre photographe, et oui, sir Jean-Charles dans ses œuvres immortelles.

Toute la rive Sud est
        exploité Bon, ceci étant, nous sommes venus voir le lac rose et il est bien rose. En fait, c'est une algue microscopique qui donne cette couleur à l'eau saumâtre aussi salée que la mer morte (320 g/L).





La couleur rose
        apparaît



Plus de mille barques s'alignent sur la côte Sud du lac qui fait huit cent mètres de long sur trois cent de large, comme l'île de Gorée. La profondeur maximum est d'un mètre soixante-dix seulement, la mer est à moins de deux kilomètres à l'Ouest.





Le village des
        cueilleurs 




Les vingt-cinq kilogrammes de sel sont vendus 1000F-CFA (1,52€) seulement ! Les barques sont louées à la journée pour un tas de sel sur trois.







C'est très dur, mais même des femmes avec leurs enfants en bas age accrochés sur leur dos, transportent le sel !


Les gens travaillent trois mois et habitent sur place dans un village de hutte.


Le campement du Rally








À côté de ce dur travail, un campement se met en place pour l'arrivée prochaine du Rallye qui fait tâche dans l'ambiance local.


Bien sûr, les locaux ne profitent pas des retombées du Rallye, sauf quelques préparateurs du site qui ressemble à une prison.



Armelle et Gilles




Le taxi nous ramène vers le village pour manger, quand, tout d'un coup je crie au chauffeur de s'arrêter !


C'est bien Armelle et Gilles qui arrivent sur leurs bicyclettes, qu'ils ont transportées depuis La Rochelle jusqu'au Spitsberg pour les utiliser ici, au Sénégal !


Nous avons mangé ensembles et nous nous sommes retrouvé à Dakar par la suite.


Un super Baobab
        fleuri 







Près du lac pousse quelques baobabs, dont un exemplaire encore fleuri avec ses fruits, gros et superbes.





La célèbre plage





L'océan et la grande plage de sable fin et blanc qu'emprunte les concurrents du Rallye juste avant de passer au bivouac.











8 janvier 2005 Dakar - Port de Pêche

Le port de pêche

Retour à Dakar et la visite du 'port' de pêche, étrange marché où l'on trouve de tout, dans une ambiance de fête avec musique tous les soirs jusqu'à tard dans la nuit.




Le port de pêche vu des bateaux de plaisances.







Toujours







En se rapprochant, les couleurs et les odeurs apparaissent.






Et encore





Une petite station essence est cachée parmi les barques; celles-ci sont déchargées dans l'eau par des porteurs spécialisés.





Les pirogues 







Une fois la barque vide, elle repart avec les pécheurs vers une extrémité de la plage pour être sortie de l'eau sur des rondins de bois pour la nuit.





Le déchargement





Le va et vient est incessant, pendant une grande partie de la journée.





La cohue








Et ce sont les femmes qui vendent le poisson, les hommes sont sur les barques.





La fin du travail






On vois en arrière plan les bateaux de plaisance du Cercle de Voile de Dakar, plus de soixante voiliers sont présents.










14 janvier 2005 - Petite fête avant le départ

Jour de fête

Cinq bateaux était présents : Françoise et Jean-Charles sur leur beau bateau (P'tit bout II) de gauche à droite : Ronan et Katell (Coriana) Céline (Saltimbanque), Bérengère et Thomas (Mohie).









Faite votre choix






A gauche Jérôme (Saltimbanque), Muriel et Sébastien (Va Nu Pieds).





En sépia







Au fond, heu moi et au premier plan Françoise.






La route à suivre



Enfin, le maître des lieux Jean-Charles, en pleine discutions sur le chemin à suivre, carte à l'appui.


Une très bonne équipe en somme.


Merci au divers photographes qui ont œuvré pour cette composition.




La suite du voyage dans le Chapitre 10.

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