Bonjour à tous, voici enfin des nouvelles fraîches, venues
spécialement de Lutèce par charrette express, il est frais mon
poison, il est frais (référence à d'une BD très connue).
Désolé,pour les chapitres sur la fin du Canada et ceux de la
remonté vers le sud jusqu'au Guatémala... je les écrirait
peut-être un jour... Entre temps, j'ai décidé de changer de
pays...
Je profite d'un moment de calme, il est 5h du matin, j'ai enfin de
l'énergie avec mon nouveau panneau solaire de cent watts qui a
bien rechargé la batterie de l'ordinateur et celle du RV du même
coup. Je vous propose un petit résumer de mon arrivée en
Californie et de mes premiers voles en parapente.
Tous d'abord, la sortie de l'aéroport après un peu de
tracasserie administrative : les douaniers ont du mal à comprendre
que je ne travaille pas et que je désire rester six mois sur leur
territoire.
Après le passage dans un deuxième bureau et une explication dans
mon anglais approximatif, j'ai enfin l'autorisation de rester six
mois et je compte bien en profiter un max.
Voici le célèbre symbole de l'aéroport de LAX (Los Angeles) ; la
tour de contrôle.
Il est minuit passé, plus de bus pour rejoindre l'hôtel, mais une
camionnette bleue permet de faire le voyage pour 20$ alors,
j'embarque avec d'autres personnes : un Australien et un local.
Direction Venice, c'est à côté, disons pas très loin, je veux dire
à quelques distances de l'aéroport, car ici tout est grand, non,
je veux dire énorme !
Arrivée à l'hôtel prévu, il est complet, un autre se trouve à
moins de cent mètres, un peu plus chère mais avec de la place. Je
vais enfin dormir, il est 1h30 du matin.
Bon repos cours mais efficace, c'est la découverte du lieu sous
le soleil, c'est comment dire : différent de chez nous, c'est
sûr !
Vraiment différent, n'est-il pas ?
Et l'eau n'est pas chaude comme au Guatemala, j'ai trempé le
doigt, environ 10°C...
Mieux vaut être bien protégé, mais le plaisir de surfer est une
réalité pour les locaux.
Je cherche sur Internet mon futur logis et une moto, une dizaine
de proposition pour le camping-car, tous un peu grand pour le RV
(Recreative Vehicule). Pour les motos, c'est plus compliqué, il
n'y en a presque pas ! Je prends rendez-vous pour une visite dans
deux jours.
J'ai du temps pour aller me balader et voir Santa Monica juste à
côté. J'y vais pas le chemin de la plage, c'est juste à côté, dix
kilomètre aller-retour dans une ambiance d'artiste vendeur de tout
poils, avec les skateurs qui passent tout autour régulièrement. La
balade est plaisante et je découvre la fin de la célèbre route 66,
elle finit sur le ponton de Santa Monica et commence à Chicago,
pour mémoire.
J'ai mal aux jambes après cette belle balade, mais le coin est
vraiment très sympathique, cool avec ces boutiques où l'on peut
fumer son joint légalement.
Nous sommes le 21-12-2012, c'est la fin du monde !
Je vois le soleil pour la dernière fois, mais la vie est belle
alors, j'en profite jusqu'au bout et c'est beau...
Voici le coucher du dernier jours de la fin du calendrier Maya,
sympa les couleurs...
C'est beau la fin du monde, tout le monde regarde les magnifiques
couleurs du ciel, un extraordinaire spectacle naturel complété,
dans la soirée, d'un feu d'artifice pour marquer l'évènement, ce
n'est pas tout les jours la fin du monde.
Le soleil se couche à 16h45 et la nuit noir pointe son née assez
rapidement. Je passerais une excellente nuit.
Le 22-12-2012 au matin, le monde est encore présent, mince ! C'est
comme les 253 fois précédentes selon ces prédictions divines
complètement stupides !
Donc, la vie continue et je vais changer d'hôtel pour celui
d'origine moins chère où je compte rester une semaine, le temps de
trouver mon bonheur : un camping-car et peut-être une petite moto.
J'en profite pour me balader au centre-ville de Los Angeles ce
dimanche en transport en commun, impossible de louer une voiture
sans carte bleu !
La ville est déserte et tranquille, je me balade dans le centre
sur la butte rocheuse où les tours sont installés.
On voit régulièrement ces tours dans les films d'Hollywood, c'est
normale nous y sommes.
Le célèbre symbole de la ville dans une légère pollution (sic).
Rendez-vous pour voir mon premier RV d'occasion. Bus, métro et
bus, j'arrive devant un centre RV deux heures après mon départ de
Venice.
Malheureusement, il est trop long avec 26 pieds soit presque huit
mètres, beaucoup trop pour moi qui cherche un petit de 19 pieds
soit tout de même un peu moins de six mètres pour des questions de
réglementation. Avec un petit RV on peut stationner comme
n'importe quelle voiture. Si c'est trop grand, il faut utiliser
des airs spéciales rares et chères.
Retour à Venice et nouvelle recherche sur Internet de l'hôtel qui
fonctionne pas trop mal.
Les bateaux passent devant la plage, je pense à mon voilier Balade
qui m'attend sur le Rio Dulce, au Guatemala, mon retour dans six
mois, voir plus, j'espère...
Le soir, je regarde les skateurs sur la forme en béton très bien
faite, c'est un plaisir de les voir au coucher du soleil glisser
amplement dans une ambiance jeune et décontractée.
J'ai un contacte pour un RV de la bonne taille (19'). C'est à Long
Beach, à trois heures de transport en commun d'où je suis. Quand
je vous dit que c'est grand !
Les deux seuls hauts bâtiments de Long Beach, une longue plage
bordée de maison plutôt riche.
Et son célèbre paquebot : le Queen Mary original devenu un musé
flottant.
Je localise la rue et vois enfin le RV sur une rue adjacente à la
grande voie de circulation très large de quatre voies.
Il n'est pas récent mais semble en bon état, le propriétaire
arrive ; Paolo. C'est un Brésilien qui a travaillé quelques années
en Suisse, donc il parle Français, une bonne surprise pour moi.
Nous faisons le tour complet du véhicule, tout fonctionne sauf le
chauffage au gaz.
Le moteur démarre au quart de tour, un V8 de 350 cv et seulement
7,2 litres de cylindré ! Un peu trop gros pour la charge, mais
très solide.
Je retourne à l'hôtel pour réfléchir et je décide de l'acheter car
les RV sont rares en ce moment. Ce n'est pas la bonne saison.
En entrant par la porte latérale, je découvre le carré en face,
quatre places autour d'une table.
Elle se transforme en lit facilement. Le lit au-dessus de la
cabine de pilotage et la cuisine à droite, je suis déjà installé !
À côté du carré, le grand frigo gaz et 110 V qui fonctionne très
bien, un grand placard fait l'angle à droite avec des rangements
dessous et sous le frigo. Un petit meuble avec un lavabo à
l'arrière sous une fenêtre, le Wc-Douche fonctionnel fait l'autre
angle à gauche.
La cuisine en longueur termine l'espace de vie. Elle est équipée
d'un évier double bac et d'une cuisinière quatre feux, un four et
d'une hôte aspirante. Il y a même l'eau chaude, le luxe !
Le lit principal est au-dessus de la cabine de pilotage, très
grand avec 2,30 x 1,50 m et très confortable. Le kilométrage est
raisonnable, moins de cent-dix mille kilomètres de cher nous !
Le moteur tourne rond d'un son grave qui sort de ces deux
échappements de chaque côté.
Le prix est raisonnable pour moi. Je fais affaire, Paolo m'aidera
pour faire les papiers et prendre une assurance RC obligatoire.
Voilà, j'ai enfin un nouveau chez moi accueillant et mobile, après
dix jours d'hôtel.
Je vais faire les petits ajustements personnels et commencer ma
vrai mission : voler en parapente. Pour la moto, il faudra
attendre une bonne opportunité.
Après cinq jours de préparation et équipement de mon nouveau
jouet, ma maison, je pars vers le site école de parapente près de
San Bernadino à quatre-vingt-trois kilomètres de Venice.
J'arrive sur le site d'Andy Jackson Airpark, c'est désert, rien à
l’horizon.
Je suis un peu surpris et inquiet, normalement, il devrait y avoir
quelqu'un.
Je vérifie sur mon ordinateur et m'aperçois que je suis au mauvais
endroit, c'est un autre site qui est un peu plus loin.
Alors, soixante kilomètres plus loin, je trouve enfin le site que
je recherchais et qui proposait des tarifs raisonnables.
Je pose mon RV avec ces semblables et pars à la recherche d'une
personne.
C'est bien un site de vol, pas de doute possible.
Je rencontre Danny qui me conduit vers l'instructeur. Je commence
à parler dans mon anglais parfaitement frenchi pour expliquer ma
motivation quand l'instructeur : Jérôme, me répond en Québécois,
je comprends tout facilement, géniale non ? J'ai vraiment de la
chance !
Soboba est un site qui permet de faire du parapente et du
mini-wings, un tout petit parapente qui descend très vite la
montagne.
Il m'explique les règles et les coûts, cela me convient et nous
prenons rendez-vous pour le lendemain matin.
Ce sera mon premier vol depuis longtemps, j'avais fait une séance
d'initiation avec Patrick, un ami plongeur (salut Patrick).
Je suis enfin au bon endroit et je vais me coucher heureux.
Le jour se lève et il fait frais (10°C), je dois regarder ce
chauffage au gaz, il n'y a pas de raison qu'il ne fonctionne pas.
Petit déjeuner et en route pour le club house local à cent mètres.
Jérôme (en orange) arrive dans sa belle voiture rouge, une
Corvette, mon rêve.
Il me présente le matériel, la sellette (le harnais qui nous
supporte), la voile, les principes de base...
Ici, il est avec Adam, un élève, pour lui expliquer le rangement
du matériel.
Nous voilà partie pour faire du gonflage sur la grande surface de
la zone d'atterrissage (LZ).
Une démonstration et c'est mon tour. Je cours, la voile se gonfle
et monte au-dessus de ma tête, je la tiens en vol sur une bonne
centaine de mètre, ravis !
La zone d'atterrissage ou LZ (Landing Zone).
Je refais une autre tentative réussie, c'est facile avec le vent
léger et le grand espace disponible.
Je passe à la pente école, monté à quinze mètres au-dessus du
terrain d'atterrissage. Elle vient d'être modifier avec un
bulldozer pour adoucir les angles.
Démonstration de Jérôme, cela semble facile.
Je me lance à mon tour, gonflage de la voile, course et petit
décollage pour atterrir une dizaine de mètre plus loin et c'est la
chute à plat ventre, sans gravité. Je savais que ce n'était pas
aussi facile.
Nouvelle tentative, c'est bien mieux, la troisième est bonne, une
dernière et je me sens en confiance avec cette grande voile de
24m² au-dessus de ma tête.
J'ai fait quatre petits vols à quelques décimètres du sol sur la
pente suffisante pour décoller.
Je suis le premier qui fait un vol sur cette pente modifiée,
Jérôme est ravis du travail colossale réalisé ici et de mes
modestes prestations.
Je vous rassure, les gros rocher n'existe plus, le travail est
quasi terminé.
Jérôme décide de me faire décoller plus haut, à trente-cinq mètres
(Vol Suivant).
Là, je voles vraiment, c'est le pied, génialissime !
Je fais six voles avec une remonter par quad (voir plus loin).
Je voles bien et commence à ressentir les sensations de la voile
et des commandes.
Je suis heureux !
Le temps passe et la nuit ne va pas tarder. Séance théorie, le
planeur et l'avion m'aide énormément pour passer assez vite ce
moment intéressant mais déjà connue.
Il faut dire que cela fait trois mois que je me renseigne sur le
sujet sur Internet avec visualisation d'une bonne centaine de
vidéo, le défaut des ingénieurs.
La nuit arrive vite vers 17h. Nous nous retrouvons devant un feu
de bois en pleine aire devant le club, discussions sur la journée
de vol avec les autres pilotes et l'instructeur. C'est un mélange
de Français et d'Anglais que je comprends difficilement avec
l'accent un peu texan. C'est un bon moment de détente que
j’apprécie à sa juste valeur.
Le jour se lève sous une petite pluie. L'après midi, le soleil
revient vite, c'est une séance de gonflage de la voile sur la
butte faite pour. Cela consiste à monter cette belle voile bleue
au-dessus de la tête et de la maintenir ainsi avec les deux
commandes tout en se déplaçant si nécessaire, ce n'est pas facile,
j'aime bien cela.
Il fait un peu froid pour la saison, cela ma poussé à réparer le
chauffage au gaz, je suis bien content de me tenir au chaud dans
mon RV avec le temps qu'il fait en ce moment.
Le lendemain est un bon jour pour voler.
Trois vols sur le haut de la pente école pour affiner le pilotage
et c'est le moment de passer aux choses sérieuses. Le premier
grand vol sur le décollage à soixante-dix mètres de hauteur.
Changement de sellette (le harnais) pour une plus lourde équipée
d'un parachute de secours.
Je fais un beau décollage, un vol historique (pour moi) et un
atterrissage dans les règles. Jérôme est satisfait. Je vais passer
sur le site de décollage des "grands" à deux cents mètres de
hauteur, cela devient sérieux, mais ne change rien aux règles de
pilotage, le plané est juste plus long, beaucoup plus long, on
passe de quelques secondes de vol à plusieurs minutes.
Je monte en quad, le fameux système qui permet de faire plusieurs
vols dans la matinée, sans lui c'est une monter à pied avec tout
le matériel qui pèse quand même une vingtaine de kilo, un peu
moins avec la sellette légère du début sans parachute. Maintenant,
j'ai la sellette avec la sécurité incorporée plus facile à mettre
mais moins confortable pour moi.
L'équipement est dans la remorque, la monter n'est pas si facile,
mais c'est beaucoup plus simple pour gravir le chemin serpentent
sur le bord de la montagne. La vue est superbe sur l'ancienne
plaine d'inondation bordée de montagne plus ou moins haute, c'est
beau !
Danny (en rouge) est le chauffeur de service, il ne vole pas mais
aime piloter ces drôles d'engins pas si facile à manier.
Après quelques minutes à se tenir en place sur le quad qui frémit
sur la piste en "S", nous arrivons sur le site de décollage face
au sud avec une belle vue sur la plaine.
Le site à 650 pieds au-dessus de la zone d'atterrissage, soit deux
cents treize mètres.
Préparation de l'aile, équipement, vent, gonflage, direction,
course et décollage avec un peu de frein.
Je voles plus de trois minutes dans un réel plaisir.
Je suis totalement alaise et j'aime bien cette sensation de
liberté absolue.
L'atterrissage est bon. Jérôme me félicite, il est rassuré par mes
compétences.
C'est mon deuxième grand vol et je suis officiellement "P1", le
premier niveau de vol ici, Jérôme est "P5", le plus élevé, il y en
a relativement peu (80) sur les dix mille parapentiste qui volent
au USA !
Je suis vraiment heureux de mon choix, le site est excellent, les
possibilités intéressantes et l'ambiance cool.
Jérôme hésite pour que je fasse sur un second vol ce jour, mais
Darryl, l'un des cinq propriétaires du site et pilote de parapente
m'encourage.
Je remonte au deux cents mètre avec lui sur le quad. Préparation
de la voile, une Élement 2 de chez Ozone, une bonne voile école
toute neuve. Me voila en l'aire pour trois minutes et demi de pur
bonheur.
Je suis les indications de Jérôme par radio, bien pratique comme
système. Je fais un atterrissage dans les règles de l'art en plein
milieu de la zone dans un vent de cinq km/h, tous va très bien.
Nous rangeons le matériel et passons la soirée devant le feu de
bois.
Nous sommes déjà le 11 janvier 2013, j'ai mon "P1", trois voles
enregistrés, huit minutes à mon actif au bout de deux jours et
demi, magnifique !
L'aile, une Ozone Élément 2 en taille Médium est facile à piloter,
la sellette Ozone Atak sans parachute de secours permet de faire
du gonflage, la sellette équipé du secours est une Woody Valley
Exence pour les connaisseurs.
Évidemment, nous ne sommes pas les seules à profiter de l'endroit,
des Corneilles et des Faucons nous montre les thermiques et volent
magnifiquement, ils sont tous "P6" (rire).
Sur le même site, on peut faire du mini-wing, c'est le même
principe que le parapente, la voile est plus petite de 8 à 16 m²
et la vitesse d'évolution est beaucoup plus grande, dans les 40 à
50 km/h.
Les pilotes montent sur le site à deux mètre en quad, ils
poursuivent à pied sur un petit chemin étroit jusqu'à la
plate-forme situé à quatre cents cinquante mètre au-dessus du
terrain d'atterrissage, on a une très belle vue de la région de
cette hauteur.
Je suis monté pour prendre des photos, c'est un bon exercice.
La vue est magnifique sur toute la plaine, on peut voir au sud un
lac artificiel qui alimente en eau la région.
Décollage sur la pente à 40°, c'est impressionnant. La photo est
extraite d'une vidéo prise d'en bas, d'où la qualité moyenne.
Adam en vol avec une voile de seize m².
Adam est Australien, je l''ai invité à coucher dans le carré du
RV, il n'avait qu'une petite tente sans tapis de sol et un duvet
léger, vu les température la nuit, le RV est plus confortable.
En plus, il parle un peu français, incroyable le nombre de
personne qui parles notre langue ici !
La vitesse de planer est bien plus rapide, on voit Jérôme dans sa
combine orange qui donne les dernières indications à Adam pour le
posé en douceur mais avec une bonne course.
Petit débriefing avant de ranger le matériel et se poser devant le
feu, le froid arrive vite dans ce semi-désert, la température du
jour est bonne, environ 20°C en ce moment, la nuit cela descends à
10°C.
Je n'ai pas de photo de ma modeste personne en vol pour l'instant,
mais des vidéos ont été prises et j'espère les avoir
prochainement. Normalement, je dois recevoir ma voile perso
aujourd'hui, une Nova Ion 2 Médium de 29 m², j'ai déjà reçu ma
sellette équipé de son parachute, une Woddy Valley Velvet 2 très
confortable. J'ai aussi acquis un casque carbone, une radio et un
GPS-vario d'occasion pour pas très chère.
Je suis équipé pour voler en toute sécurité et profiter du site un
bon moment, le temps qu'acquérir le niveau "P2" après vingt-cinq
vols, voir le niveau "P3" pour être autonome après quatre-vingt
vols et toujours un QCM sur la théorie du vol.
Dernière nouvelle du jour : j'ai fait un vol de pente de 1h23,
génial ! J'ai retrouvé les sensations du planeur avec en plus le
vent dans le nez, superbe !
Le vol aurait pu durer plus longtemps, je n'étais pas bien équipé
pour le froid d'altitude. Je suis monté à 1 239 m, l'atterrissage
se trouve à 424 m d'après le GPS, coordonnée : 33°49'06N et
116°57'41W pour les aficionados de Google Earth.
Pour résumer : je suis comblé de bonheur, tous va pour le mieux !
J'espère que c'est pareil pour vous.
À très bientôt pour de nouvelle aventure.
Jean-Nono sur le site de Soboba, San Jacinto, Californie, USA,
Planète Terre.
Note : j'ai visité le musée des Sciences de LA, qui possède la
navette Challenger.
C'est la seule photo ou l'on me voit devant le SR71, l'avion le
plus rapide du monde.
A bientôt sur le Chapitre 53.
Avez-vous des commentaires à faire ? Si c'est le cas, n'hésitez pas à m'envoyer un éMail, merci.