Le musée est un peu éloigné de Washington, il est à côté de
l'aéroport international de Dules à trente kilomètres de la
Capitale. Il faut prendre deux bus pour y aller...
La visite peu commencer, l'entrée (gratuite) dans un grand hall en
T où son présenté les avions de toutes époques, les véhicules et
sondes spatiales...
A gauche en entrant, il y un une très belle exposition d'outils et
de pièces façonnés par les mécaniciens et les hommes d'arts.
Avec ces outils, les moteurs ont progressé jusqu'à nos jours,
pistons et embiellages ont propulsé l'aviation du premier vol
Français au vol de l'Airbus A380, le plus gros montre volant dans
l'air !
Le moteur à piston laisse la place au réacteur, puis au fusée, les
tableaux de bords gagnent en équipement, au début, un bout de
ficelle était le seul instrument, puis arrive l'indicateur de
vitesse, l'altimètre, le variomètre, l'indicateur de virage,
l'horizon artificiel, le pilot automatique, les informations du
moteur ou du réacteur...
A gauche, le poste de pilotage de la capsule Mercuri, à droite
celui de la Navette Spatiale, un monde d'évolution entre les deux
!
On retrouve l'une des capsules Apollo à trois places, puis une
Gémini à deux places et une Mercuri à une seul place.
L'informatique de la capsule Apollo, un système à base de transistor et dès tout premier circuit logique TTL, la puissance de calcul de cette unité de 1960 est cent fois inférieurs au premier processeur 8 bits de 1980, et pourtant il a rempli son office pendant deux ans !
L'ordinateur des modules d'alunissage était du même type, il a
saturé lors du premier alunissage, trop d'information et pas assez
de vitesse pour tout gérer.
La navette est équipé de cinq ordinateurs séparés gèrent
l'ensemble des informations de tout les systèmes, ils sont
maintenant totalement obsolète à cause de l'évolution constante de
l'informatique, ils restent en place car ils remplissent très bien
leurs tâches.
La navette dans toute sa grandeur, superbe bijou que l'on n'ose
pas donner à une dame, trop fragile et plus chère que le diamant !
Chose rare, un système de propulsion dorsale devait servir pour
l'évacuation des astronautes en cas de problème, trop dangereux,
il ne sera pas retenue.
Une myriade de satellite et de sonde ont été envoyées depuis le
célèbre Spoutnik en 1957, ils ont vues la terre et visités le
système solaire, rapporter des photos et des données
scientifiques, pour faire évoluer la vision du monde.
Les sondes robotisées sont aller sur la Lune, Mars, Vénus, Jupiter
et ses satellites, en attendant que l'homme y mette le pied, mais
là c'est une autre histoire qui n'est pas encore écrite.
On retrouve les premier avions du siècle précédant, le bois et la
toile était les maîtres du ciel à cette époque. Les moteurs
poussifs, les records battus régulièrement avec l'avancé des
technologies...
Le Piper J3-Cub, petit avion avec son moteur Continental de 50Cv
qui commença à voler en 1937, un nombre incalculable de pilote ont
appris à voler grâce à cette avion construit à plus de vingt mille
exemplaire. Il était considéré comme la Ford du ciel par tout le
monde.
On trouve un peu partout le Cub-J3 dans les aéro-clubs de France
et dans le monde, c'est robustes et facile à réparer. Il vol
toujours, soixante-dix ans après son premier vol.
Vous pouvez en voir un sur le terrain de Lognes-Emerainville où je
volais avec mon petit Pottier P 180.
Un autre avion mythique a fait rêver beaucoup de monde, le
Concorde, une très belle réussite technique, mais un flop
commercial comme nous savons si bien les faire. Heureusement,
Airbus a relevé le défi et fait de beaux avions comme l'A300 et
l'A380...
L'aviation légère avec l'avion de voltige, biplan, ulm, planeur...
le plaisir de voler dans les airs, libre...
La couleur des ailes Delta ravive l'aviation dans les années 1970.
A droite, le terrain d'aviation d'Oshkosh, le plus grand
rassemblement d'avion du monde a lieu tout les été, plus de 15 000
avions sont présents avec des présentations en vol des tous
derniers modèles et un énorme show sur une semaine, grandiose !
Le planeur de chez Grob, un bel oiseau que j'ai pratiqué avec
grand plaisir, le silence et la souplesse du vol plané.
Les plus légers que l'air, les ballons à air chaud ou dirigeables
ont une petite place du côté droit...
Pour finir, un autre vaisseau spatiale de Science Fiction : dans
quel film celui-ci a-t-il été présenté ?
C'est facile, un acteur français joue un rôle principal ! Je vous
laisse réfléchir.
A bientôt sur le Chapitre 48.
Avez-vous des commentaires à faire ? Si c'est le cas, n'hésitez pas à m'envoyer un éMail, merci.