Le Centre Spatiale Kennedy

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Position : 28°21' N - 080°43' W

14 juin 2007 - Cap Canaveral - Cocoa

Nous (P'Tit bout II et moi) avons loué une voiture pour faire les quelques milles qui nous sépare du centre spatiale, la route est large, belle et n'a qu'une direction, le centre de la NASA.


Un immense parking nous accueil, il est 10h, c'est l'heure de l'ouverture, nous entrons dans le premier hall, on prend les tickets (assez chère) puis nous arrivons dans une belle esplanade avec les différents bâtiment présentent une époque ou une phase de l'aventure spatiale des États-Unis.


Pour voir l'histoire des missions Apollo et les modules de l'ISS, il faut prendre un bus qui travers une bonne part des installations du centre Kennedy.



En premier lieu, un bâtiment que l'on voit de très loin, le centre d'assemblage des fusées et navettes de 135 mètres de haut !
Visible de la mer, des Waterways, de la ville de Cocoa, de partout, car le terrain est plat comme une galette Bretonne.


On arrive devant un bâtiment bas, c'est l'ancien centre de contrôle des missions Apollo, un petit film retrace l'ambiance qui y régnait lors des lancements. Il faut savoir que les postes de contrôle ne sont pas équipés d'ordinateur, mais d'écran de TV qui relayait des informations écrient à la craie sur tableaux noir et filmés par des caméras. Une équipe d'ingénieur mettant à jours les informations en les écrivant. C'était entre 1962 et 1972.




















La simulation d'un lancement, les écrans s'allument, le compte à rebours est démarré, ...


La salle après la diffusion du film, moins poétique, c'était la grande époque de l'analogique.










On sort de la salle pour entrée dans l'immense hall présentant la fusée Saturne V couché, ses 5 propulseurs vous domine, le diamètre de la fusée fait seulement dix mètres de diamètre, énorme !


Impossible de faire une photo d'ensemble, c'est trop grand, tout est détaillé, la masse de l'engin, les propulseurs, les réservoirs, le module de transport et le module lunaire...








La comparaison est facile, deux navettes, deux statues de la liberté, quatre fusées Red Stone, un terrain de foot américain, grand !


La célèbre mission Apollo 11, le premier pas d'un homme sur le lune le 21 juillet 1969. Je m'en souviens comme si c'était hier, mes parents mon levé à 3h30 du matin pour voir la retransmission en directe sur la TV noir et blanc de l'époque, quel souvenir. Pour nous c'était le 22 juillet.








L'intérieur de la capsule Apollo, deux petits hublots sur l'avant, pas évident de voir ce qu'il se passe devant.






Le module de transfert complet, avec son propulseur ré-alumable, ce qui n'est pas le cas des cinq propulseurs du premier étage, une fois en fonctionnement, ils brûlent tout le carburant des réservoirs.







La capsule Apollo, l'équipage vie pendant trois jours de voyage jusqu'à la lune, avec tout de même l'espace du module lunaire placé devant après le décollage.






La combinaison pressurisée permettra aux hommes des missions Apollo de marcher sur la lune en sécurité, pas facile de rentré dedans !










La voiture lunaire, sobre, fonctionne à l'électricité, pas de pollution, deux places et un petit caddie pour les roches lunaires ; simple, mais chère.













Il y a aussi les vautours qui attende la moindre erreur pour profiter des restes (juste à côté du hall). 


Nous quittons ce grand bâtiment de la fusée Saturne V pour un bâtiment plus récent, le centre d'intégration de la station ISS, le module Columbus de l'ESA est en cours de teste pour être lancé début 2008 par la navette.
Malheureusement avec les vitres blindées, difficile de faire de belle photo, mais en voici quelques une.






Une équipe d'ingénieur travail sur une armoire d'électronique, un technicien lit la documentation, pendant qu'un autre fait le travail surveillé par cinq autres, ce n'est pas le rendement qui compte ici, mais la qualité irréprochable du travail.


Une grande salle présent la station ISS avec quelques maquettes de modules à l'échelle un, cela n'est pas vraiment 'parlant'.


Nous repartons vers le hall d'arrivé puis visitons les stands présents.


Nous commençons par la navette spatiale, un vaisseau de cent tonnes au lancement, sur deux étages, trop grand !


























La cabine de la navette, avec le tableau de bord et les sièges, c'est un peu plus moderne que la capsule Apollo, n'est-il pas ?

















Les deux propulseurs à poudre posés le long du réservoir principal, il ne faut pas se trouver derrière quand cela démarre, chaud, très chaud !


Un espace est réservé aux premières fusées, ainsi qu'aux modules Mercury (une place) et Gémini (deux places), qui ont précédé Apollo (trois places). La navette à sep places assises.











La fusée Red Stone qui lança le premier États-unien dans l'espace, Alan Shepard en 1961.





Grâce à des propulseurs de plus en plus performant, les fusées ont pu ce libérer de l'attraction terrestre et atteindre la vitesse de 28 000 Km/h nécessaire à la satellisation des engins et des hommes. Le moteur des fusées est un ensemble d'une précision d'horlogerie, dans un four à haute température, refroidie par l'hydrogène et l'oxygène liquide pour les moteurs principaux.






Ce n'est pas le même moteur pour l'équipement du module de transport individuel, cela utilise un jet de gaz sous pression permettent de se déplacer à faible vitesse, sur le même principe de l'action-réaction.
La visite se termine, je trouve qu'il manque des épisodes important, la station Skylab, les missions interplanétaires et bien d'autre. La visite du grand musée de l'aéronautique de Washington permettra de compléter celle-ci.
Pour le moment, nous retournons aux bateaux, après une autre visite, le Publix local (équivalent de Carrefour), la grande surface où l'on trouve presque tout pour se nourrir correctement.





La prochaine visite sera pour Wald Disney, le Chapitre 41.

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