La Gambie

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25-01-2005 - Missiro - Banjul

La carte

C'est la sortie du Sénégal et l'entrée en Gambie, changement de pavillon sur le coté tribord du bateau. Ajout du pavillon 'Q', pour avertir de l'arrivée du bateau et route au 230° pour un peu moins de quatre heures de navigation dans les bancs de sable de l'estuaire du fleuve, direction Banjul, la capitale.
Les vagues déferlantes
        sur les hauts fonds










Les bancs de sable sont visibles par une petite écume blanche quand les vagues remontent du fond et éclatent sur le sable à fleur d'eau. Il y en a des deux cotés, alors prudence et suivi du cap sur le GPS, outil très utile pour éviter de se poser le temps d'une marée ou plus.




La ville de Banjul




Après trois heures de navigation, la ville apparaît, on distingue l'arc de triomphe de l'indépendance, en blanc.





Le bac devant P'tit
        Bout II






Un bac transporte fret et passagers sur l'autre rive du fleuve Gambie, et nous croiserons sa route un peu plus tard.




Le port principal
        de Banjul





Le port de commerce est en pleine activité, deux gros pontons éloignés de la berge servent pour l'accostage des cargos de tout genre.




Le quai ou l'on va
        débarquer





C'est à coté de la grue que nous débarquerons pour faire les papiers d'entrées. c'est le seul endroit où il y a une échelle pour monter sur le quai !




Saltimbanque et Betsy
        au mouillage





L'arrivée sur la zone de mouillage des plaisanciers, entouré d'épaves de cargos, réjouissant me direz-vous.




Les épaves !





Une dizaine de cargos coulés rouillent tranquillement au rythme des marées, certains n'ont que la cabine de visible, d'autres ont le cul enfoncé dans la vase, l'avant pointant dans un hypothétique décollage vers le ciel d'hiver où le manque cruel de nuages fait monter la température à 30°C à midi.



Céline et Jérôme de
        retour de la ville




L'ancre délicatement posée sur un fond de vase, je vois venir Céline et Jérôme du célèbre voilier Saltimbanque, arrivés deux jours plutôt. Nous prenons l'apéro avec Françoise et Jean-Charles et échangeons nos impressions sur les différents itinéraires pour venir en Gambie.




Le dernier arrivage




Après deux demie journées d'enregistrement, nous sortons enfin du quai pour visiter la ville. Dans la rue principale sont arrêtés une multitude de camions chargés des derniers arrivages des cargos; ils attendent le bac pour traverser le fleuve. Il y a de tout, nourriture, matelas, huile végétale, ...




L'école obligatoire




Visite du marché, d'une taille insoupçonnée, c'est un vrai souk avec petites rues d'un mètre de large, rangées par professions et marchandises. Beaucoup moins prenant qu'à Dakar, les marchands ne vous attrapent pas, ils vous donnent le bonjour et attendent votre choix ou votre passage, très bien et pas de stress inutile (je n'aime pas le stress).



Il y a le choix





On a pris un bus collectif pour visiter la banlieue de Banjul, une multitude de boutiques s'alignent sur la route avec des dessins sur chacune d'elle pour vanter la marchandise et indiquer d'un logo les produits disponibles, simple et efficace.



D'autres boutiques





Et voila un autre exemple de boutique.
A titre d'info, si vous chercher un groupe électrogène, les prix sont imbattables ici, 75€ pour un 1000W Yamaha, qui dit mieux ?





L'arc de triomphe
        local





L'arc de triomphe de l'indépendance, vu depuis le bus de retour.




Devinez ce qu'il
        regarde ?






De retour à Banjul, Jean-Charles a localisé une boutique d'informatique, mais là par contre, ce n'est pas la peine de perdre votre temps, c'est la préhistoire des PC, il faut de tout.

Demain, nous partons remonter le fleuve Gambie, pour voir quelques animaux sauvages dans les prochains jours, je l'espère.








27-01-2005 - Banjul - Bintang

Le port de Banjul

La remonté du fleuve Gambie, commence ce jour avec un vent faible et un courant favorable de 0,5 à 1 nœud.
 



Nous laissons le port de Banjul dans le lointain et prenons la direction de l'amont du fleuve Gambie, vers des destinations riches en animaux sauvages, nous dit-on.




Une famille de Dauphin
        noir





Cela commence par le saut d'une colonie de dauphin noir en famille autour des bateaux, car je ne suis pas seul, P'tit Bout II m'accompagne.


Le plus dur c'est de localiser l'endroit ou ils vont surgir, car l'eau est très sablonneuse et donc difficile de voir les dauphins sous l'eau pour les prendre en photo.


L'ile James






Sur le fleuve, l'île James, découverte par les Portugais, qui servait de base de départ des esclaves a été le lieu de multiple combat entre Français et Anglais. Elle a changée dix-sept fois de nationalité depuis ça découverte et pour finir les Français ont décidé de tout raser à coup de canon pour qu'elle ne présente plus d'intérêt pour les Anglais.



Saltimbanque à la
        voile



Après le passage de l'île, nous retrouvons Saltimbanque qui s'était arrêté, la veille, sur l'île.


Petite séance photo mutuelle et nous continuons avec un peu de vent pour la prochaine étape : la crique de Bintang.





L'anniversaire de
        Lucas



Nous retrouvons Betsy arrivé 2 heures plutôt et préparons l'anniversaire de Lucas, 3 ans déjà !


Nous profitons de la fin de journée ou la chaleur est moins forte (33°C en journée) pour aller visiter le village de Kuranko qui est à deux kilomètres de notre mouillage.



La mangrove
        toujours




Mais avant, nous allons faire le tour de la mangrove pour voir si des animaux sauvages ne si trouvent pas. Seul les oiseaux de toutes les couleurs sont présents en nombres, le zoom de l'appareil photo ne fonctionne plus et il n'est pas possible d'approcher trop des oiseaux qui s'envolent à tir d'aile. Les impératifs matériels ne sont pas toujours faciles à gérer en pleine savane africaine.


Les oiseaux dur à
        approcher 







Ici, l'on voie bien les oiseaux décoller, un groupe d'une trentaine d'individus, qui s'était posé un peu plutôt, magnifique !




Arbres et oiseaux





Là, un ponton de mise à l'eau des pirogues de pêche recouvert à marée haute par le fleuve et le limon qui s'y dépose régulièrement.




Le débarcadère du
        village





L'arrivée tant attendue par les locaux sur le bateau qui sert de ponton à marée basse et de barge à passager lors des marées hautes.
Ils nous attendent pour visiter le village avec des oranges en cadeau de bienvenu.
L'orange est épluché avec art juste ce qu'il faut pour pouvoir en extraire le jus qui est délicieux, la pulpe n'étant pas mangé, mais simplement jeté.


La place du village 






Voici le centre du village avec l'arbre à palabre ou les anciens et les hommes fort discutent de longues heures abriter du soleil par un magnifique arbre plus que centenaire.




Le banc des
        palabres des enfants




A côté, un autre arbre abrite le siège des jeunes, la majorité du village. Ils sont une soixantaine dans le village, il n'y à qu'une dizaine d'adultes.


L'école est dans un autre village au Nord à quatre kilomètres.



Le foot, jeu de base


L'une des activités favorites des enfants est de jouer au foot et ils sont très doués pour cela contrairement à moi.


La journée se passe sans problème et nous prenons la route du retour.

La récolte des fruits
        du Baobab






Sur la route nous rencontrons la cueilleuse des fruits du baobab. Une longue perche auquel est ficeler un couteau, permet a la cueilleuse de couper la tige du fruit d'un geste vif et efficace. Le fruit est ensuite séché puis ouvert pour en extraire les graines qui sont entourées d'une coque blanche qui peut se manger tel quelle ou dissoute dans de l'eau. C'est un peu amère mais bon.

Un cocotier dans un
        arbre !








Une vision surprenante, un arbre à pousser autour d'un cocotier qui a du mal à respirer !
Une termitière
        géante









Lors d'une balade entre les villages, Jérôme, Jean-Charles et Manu son tombés sur une termitière géante de plus de trois mètres de haut, comme en témoigne la photo. Il y en a un peu partout le long des berges du fleuve.

Le mouillage
        tranquil





Puis nous retrouvons nos bateaux au couché du soleil, vers 19h, après une bonne journée de balade et un bon repas d'anniversaire.







29 janvier 2005 - Bintang - MandoriLe départ de Bintang dans
        la vase


Le départ le lendemain avec le courant favorable dans le bolon, mais un peu défavorable sur le fleuve pendant deux heures, Saltimbanque tirent des bords à la voile, car le moteur n'est pas assez fort contre le courant.






L'épave du Cap Muta






Le petit village avec une épave d'une vielle goélette en bois posé sur des rochers affleurants le long de la berge du cap Muta.





Les arbres sans
        branches 






Des arbres morts apparaissent de temps à autre le long de la rive du fleuve, ils servent encore de perchoir à oiseaux.





La recherche des
        Crocodiles






Et des oiseaux ils y en a en grande quantité, les cris et les chants sont permanents. Dommage que je ne puisse vous les faire écouter.





Un cata près d'un
        village 






Un autre village avec un petit cata bleu attacher à des arbres, certainement un Toubabe (blanc) qui c'est ancré ici pour longtemps.











30 janvier 2005 - Mandori - Ginoi

Lors de cette journée, je suivais Betsy de loin, l'alarme du sondeur c'est déclenché à trois mètres de fond, la dérive étant relevé j'ai moins d'un mètre cinquante de tirant d'eau, Betsy tire un mètre quatre-vingt minimum. Je continue ma route en prêtant un peu plus attention à la profondeur qui diminue régulièrement, arrivée à un mètre cinquante, je remonte toute la dérive et m'approche de Betsy, qui semble immobile en plein milieu du fleuve. Betsy est planté dans moins d'un mètre de vase molle ! Je fait le tour avec Balade pour voir si le fond est constant et pour prendre Betsy en remorque. Le fond redescend un peu plus loin dans le sens du courant, Manu m'envoie un bout, moteur à mi puissance je remes Betsy dans le sens du courant, le faisant avancer dans des eaux plus navigable pour eux.
Le bac coté Casamance



Nous arrivons au bac qui va de Ginoi à Madina, sur la route de Dakar à Ziguinchor. C'est un ensemble de deux vieux bac avec péage de chaque coté, contrôle policier et des échoppes pour les gens en transites. D'un coté, un quai incliné en béton fait office de débarcadère, de l'autre le quai c'est effondré en partie, il ne reste que la terre et des toilettes à moitiés fracasser, mais encore en service. Le béton n'est visible qu'à marée basse.



Le bac coté Dakar 






Le courant est assez fort au Nord, le petit bolon qui sert de quai est juste assez grand pour les deux bacs et des épaves en tout genres.





Petite visite du quai




Sur le quai Sud, les camions attendent l'embarquement, qui est une opération délicate, car sans vrai quai, ils patinent sur la rampe trop forte du bac, les roues dans l'eau ! Mais cela fonctionne encore, alors.



Le débarquadère
        Nord





Nous sommes parties visiter le village voisin Madina en garant l'annexe sur le côté du débarcadère du bac, sur des ruines de béton.





Le bus à l'arrivée






Le bus local, plein à craquer avec cinq ranger de siège de cinq personnes dans un fourgon Mercedes hors d'age est notre surprise du jour, super !






Le marché



Maintenant c'est la visite du marché que nous indique l'un des passager du bus, professeur à l'hôpital de la ville.




Les senteurs et les couleurs sont appétissantes et les enfants nous regardes avec des yeux ronds, ils n'ont pas trop l'habitudes de voir des Toubabes passer ici.




Les épices





Comme tous marché qui se respecte, les épices sont présentées aux clients avec l'odeur et saveur, c'est très beau.




Sous toutes les formes






Il y en a pour toutes les bourses, du petit sachet de quelques grammes au sac de vingt-cinq kilogrammes.




Le restaurant en pleine
        air





Après cette visite et l'achat de quelques provisions, nous allons au restaurant local ou la viande est coupé et cuite devant nous avec oignons et tomates.





Et le restaurateur !





Le cuisto à le coup de main, le tout sans bouger de son tabouret, tous est devant et derrière lui, génial non !





La route pour les
        vélos






Nous prenons un taxi pour revenir au bac, la route est totalement défoncée et seul les vélos l'utilise, les voitures passent sur les bas coté pour circuler. Le confort s'en ressent un peu !





Les épaves un peu
        partout





Arrivée au bac, une discussion avec la police qui voulait arrondir ses fins de mois, nous avons simplement refusé le principe en palabrant quelques minutes. Nous retrouvons l'annexe dans l'amas d'épaves qui borde le débarcadère.


On a réussi à acheter du pain, de bonne qualité, des fruits (oranges et bananes) et des épices.







31 janvier 2005 - Ginoi - Bombale

La mangrove

Le village de Bombale est situé dans un bras du fleuve à coté d'une île. Les martins pécheurs sont toujours à l'affut des poissons qui n'ont pas de chance.






Les filets en travère
        du fleuve





Le long du parcours nous rencontrons une dizaine de filet posés en travers du fleuve, avec seulement une vingtaine de mètre libre entre la berge et le gros flotteur pour laisser passer les bateaux.




Encore la mangrove









Cela nous permet de voir la mangrove de très près et d'admirer les multiples oiseaux. Pas de grosse bête en vue.





L'arret près d'un
        bolon 




Après cette journée mouvementée, le soir arrive et l'on s'arrête dans une eau calme et lisse pour une bonne nuit de sommeil.


La journée il fait entre 30 et 35°C, la température tombe à 18°C en fin de nuit, nous somme en janvier !








1 février 2005 -Bambale - Kau-Ur

Un lever de soleil

Le lendemain, nous repartons à trois, Betsy préfèrent ralentir pour promener Lucas dans le coins. Donc, à 7h départ pour nous rapprocher du but, les animaux sauvages. Pour gagner du temps, je remorque Saltimbanque, car son moteur est un peu poussif et le vent toujours à contre ne favorise pas la voile. En fait, c'est ma nouvelle 'annexe' mais faut pas le répéter.



Nous profitons de la renverse du courant pour partir et nous arrêtons à l'autre renverse entre six heures plus tard. De ce fait, le courant est toujours avec nous entre 1 et 2 nœuds, mais le vent reste de face presque tout le temps.
Une belle nuée
        d'oiseaux 






Le matin, les oiseaux s'envolent pour se nourrir, ils tournent au dessus de la mangrove pour attraper les insectes, beau ballet aériens.





Les premières collines 




Au loin apparaît les premières montagnes de la Gambie, cinquante mètres de haut, c'est le point culminant.





Visite de Kau-Ur  




Nous nous arrêtons devant une ville de neuf mille habitants qui possède un petit débarcadère en béton et deux abris pour l'attente des bateaux de transport.
Les maisons près de la rive sont en bois avec antenne TV sur chacune d'elles.





Vue de la colline 






Nous montons sur la montagne pour avoir une vue générale du fleuve et de l'environnement. Champs de ris et terrain sec se mélange.




La risière et les
        femmes 





Dans les rizières seul les femmes sont aux labeurs, elles chantent et rient en nous voyants passer.




Des nids par
        centaine


Arrivée à la ville, nous apercevons un baobab remplie de nids d'oiseaux vide, des centaines, en dessous un carrossier nous présente ses réalisations et la curiosité nous pousse à voir de plus près le système du poste à soudé. Il s'agit d'un moteur de voiture posé sur des rails de chemin de fer entraînant un générateur de courant continue par l'intermédiaire d'une simple courroie, et cela fonctionne !



Un compteur d'huile 







Petit tour en ville, et là, je tombe sur une super pompe à huile française, une antiquité qui fonctionne toujours pour vendre l'huile de cuisine qu'il livre par bidons de vingt litres. Cette pompe mesure des quantités d'un quart de litre à chaque tour de manivelle.





Le trateur sans
        démareur 




Un peu plus loin, les gents nous demandent de pousser le tracteur pour le faire démarrer, nous acceptons avec plaisir de participer. Un vieux Masser Fergusson avec la roue avant droite d'une voiture, un pot qui bouge sans arrêt, le pilote est super contant.
Le soir, nous nous déplaçons de deux milles pour être un peu à l'écart de la ville et posons nos ancres près d'un petit bolon.
Un gros bruit me faire me retourné sur le premier hippopotame, une grande gueule et oups dans l'eau, je préviens les autres et je surveille les bulles que fait l'hippo en se déplacent au fond de l'eau, il va vers la berge toute proche et sort une petite partie de la tête, on voit distinctement les oreilles, le nez et les yeux, super. Il nous regard et plonge de nouveau, nous pouvons suivre ça trace quelques minutes et puis plus rien.

2 février 2005 - Kau-Ur - Bantanka

Les canards sauvages

J'ai essayé de faire comme Jean-Charles, prendre une photo derrière la paire de jumelle pour faire un super zoom. Le résultat est pas trop mauvais, les canards sauvages sont quant mêmes très farouches, on les comprends.






Et sur les arbres 





D'autres oiseaux sur un grand baobab pris à la jumelle, pas mal non !




L'arbre vue sans
        jumelle






La même photo sans jumelle, ils sont loin les oiseaux ! Le plus dur c'est de centrer la visée de l'appareil photo avec la ligne de visée des jumelles, mais avec un peu de temps, j'y arrive.





La côte change 








La végétation change doucement, l'eau n'est plus du tout salée, les palmiers et les cocotiers apparaissent, les singes passent de branche en branche.




Pirogue d'enfant 





Nous arrivons près d'un village important, de grands hangars sont visibles et une dizaine de pirogue avec des enfants nous assailles et nous réclames de l'argent et des stylos !





Et petit tour dans
        l'eau 




Il y en a un qui s'accroche à l'annexe de Saltimbanque et tombe à l'eau ! Pas de mal, il remonte sur son embarcation en rigolant, pas nous.




L'eau n'est plus
        salée 




Un peu plus loin, des centaines de mouton s'abreuve le long du fleuve, sous l'une des rares collines du coin.





Un promène touriste






Nous arrivons à la grande ville suivante, avec oh surprise les premières pirogues à touriste, belle et bâché pour éviter les coups de soleil.





Encore des oiseaux 






Et la nuit venue, les oiseaux ce pose sur les arbres morts pour passer la nuit tranquille.










2 février 2005 - Bantanka - Kautaur

Un pied à terre 

Sur le bord du fleuve, des embarcations sont posées de-ci de-là, sans aucune surveillance.







La route des ânes 






Sur la route, des ânes en libertés broute l'herbe sèche du bord du chemin.





Les tombes
        circulaires



Et nous arrivons aux 'Cycle Tombe', les tombes en cercle de six à dix-huit pierres sont disposés autour d'un trous ou est enterré la personne importante. C'est pierre son en fait de la terre glaise local qui durci au contact de l'air et deviens aussi dur que de la roche.




Une autre vue 





C'est un très vieux cimetière de gens important de l'époque, selon un rite païen inconnu, même aujourd'hui. Il est classé dans le même domaine que le fameux Stone-Age et les menhirs et dolmens de Carnac.



L'arbre pousse ou
        il peut





La nature se fou éperdument des croyances en tout genre, elle prend racine ou cela lui chante, historique ou pas.




La maison du
        boulangé à pris feux






Au retour, nous passons le long du four à pain du boulangé, il a un peu trop chauffer le four qui a mit le feu à la toiture, dommage !



Les femmes et les
        photos



C'est ma dernière photo (pour le moment). Des femmes gambienne voulait absolument que je les prenne en photo, je me suis donc accompli, puis elle mon demandé la pellicule, et oh surprise quant je leur ais présentée la puce électronique qui contenait les photos !
Malheureusement, l'appareil photo numérique à décider de ne plus faire son 'travail' et d'arrêter de fonctionner normalement. Le zoom avait déjà du mal à faire son office, alors j'ai ouvert la boite et j'ai trouvé le coupable, un simple ruban de liaison entre le clavier de commande et l'électronique de l'appareil, mauvaise conception, il est plié dans tout les sens et les minuscules fils électriques qui véhicule le courant de commande sont coupés, impossible à réparer ici, en pleine brousse ! Même avec un mini labo d'électronique, le ruban fait 5 millimètres de large et il y a 12 conducteurs sur cette surface ! Conclusion, plus de photo réalisé par mes soins, seul Saltimbanque à encore un appareil qui fonctionne, merci à eux pour les photos qui suivent.

3 février 2005 - Kautaur - Jakallin

Un héron cendré

Un héron cendré a tourné pendant une heure devant les bateaux à chercher de la nourriture. Les singes ont aussi faire leurs parades, bien visible aux jumelles, mais pas de photos, même de Saltimbanque, vraiment dommage.






La case à eu chaud




En longeant l'île qui abrite le crocodile, nous avons remarqué cette petite case qui a échapper de peu à la destruction quant l'arbre c'est couché dans le fleuve.




Le singe sera remis
        en liberté




La zone où l'on est passé est protéger par des gardes qui interprètent à leurs usages la réglementation, ils nous ont demandés un droit de passage alors que nous avons déjà payé ce droit à la douane, pas de chance, ils n'étaient pas trop content, mais c'est comme cela.


Le crocodile













La seul photo du croco dans son domaine, pas facile à prendre avec la lumière du matin un peu faible. Ah quant la technique nous lâches au mauvais moments ! 










4 février 2005 - Jakallin - Georgetown

L'arrivée
        prochaine à Gorgetown

On avance toujours tranquille dans le fleuve qui se ressert régulièrement.









Un petit village
        avant






Des bateaux en acier serve de passeur entre la berge et l'île de Gorgetown, l'ancienne capitale de la Gambie, qui ce meure à petit feu.





Il fait 30° et on
        arrive





Avec 30°C au soleil au mois de février, si si je vous l'assure.





La végétation
        change




Toujours une foule d'oiseaux de toutes les couleurs, ici un martin pécheur sur ça branche prêt à sauter dans l'eau pour attraper un poisson.





Et les oiseaux sont
        toujours là 








Toujours des oiseaux le long du fleuve.





L'une des multiples
        termitière 






Et les termites qui occupe la berge bien visible.











6 février 2005 - Retour à Banjul

Un hippo ! 

Merci Saltimbanque pour ses photos d'hippopotame !


Hippo sur la berge 









Lors du retour, j'aperçois trois hippopotame qui sort la tête de l'eau juste à dix mètres du bateau, dans moins de deux mètres d'eau, je regardais attentivement car avec cette profondeur, je me méfie. Les hippos plonges ressorte de l'eau plusieurs fois, je préviens P'tit Bout II et Saltimbanque qui restera sur le site pour faire ses photos. C'est bien non. 





Les singes !



Voici le petit bilan de cette excursion : 305 Milles parcourus (au GPS), 85 litres de gasoil, 58 heures de moteur, 17 mouillages, 15 jours pour voir des oiseaux pas milliers, un crocodile, 4 hippopotames, une dizaine de singe petit et gros, des dauphins noir et deux sites historiques.
En fait, cela m'a beaucoup plu et je ne regret pas le détour, sauf peut-être les quelques tentatives de nous faire plumer par des petits fonctionnaires malhonnêtes.





La suite des aventures dans le Chapitre 12.

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